Circuit La Grèce Classique du 26 avril au 3 mai 2006
- Conclusions -
Nous avons été frappés par la complexité de l'histoire grecque, et les multiples occupations donc
influences que ce pays a connu. Ainsi, le vecteur le plus important de la transmission de la culture et de
l'art grecs aura été les romains qui ont copié leurs statues et emprunté leurs dieux.
Pour notre bonheur et notre malheur, nous avions un guide très cultivé et soucieux d transmettre tout
son savoir. De ses longues explications durant les trajets, j'avoue n'en avoir retenu que quelques bribes,
et surtout celles que j'avais déjà lu dans différents guide dont les informations moins copieuses étaient
bien plus digestes.
Un regret également : nous n'avons eu aucune information ou commentaire sur la vie en Grèce de nos
jours.
Nous décernons un carton rouge aux automobilistes et motocyclistes grecs:
- les motocyclistes portent rarement un casque (pourtant obligatoire).
- la bande d'arrêt d'urgence est utilisée comme voie de circulation supplémentaire :cela permet de
doubler en mordant un peu moins la ligne blanche ! Mais malheur à celui qui est immobilisé sur cette bande
d'arrêt.
- même notre bus se faisait doubler sur de petites routes de montagne, sans visibilité, malgré la ligne
blanche ...et l'absence de bande d'arrêt d'urgence
Pour se persuader du danger des routes grecques, il suffit de dénombrer les oratoires qui jalonnent les
routes :

Un oratoire vu de l'extérieur et à l'intérieur
Sinon le circuit était parfaitement organisé, l'autobus très confortable, la restauration et les hôtels
très corrects compte tenu de la catégorie.
A noter néanmoins quelques petits désagréments:
- un hôtel en cours de restauration (chambres encore en chantier)
- changement d'hôtel la dernière nuit que nous aurions du passer à Athènes. On nous a
réexpédié à 200 km, dans le Péloponnèse.
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- Notre dernière: un petit village tranquille en bord de mer
- retour en France : survol du mont Blanc |